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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/124

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c’est la voix de Gilbert Paterson, que je n’ai pas vu depuis dix ans, et qui est, dit-on, maintenant, l’homme d’affaires du riche comte de White-Manor… Seigneur ! c’est le dernier homme que j’aie aimé, pourtant.

— Peggy ! ma chère amie ! Peggy !

— Du diable si je n’ouvre pas, dit la tavernière, mettant fin à ses incertitudes ; — en tous cas, Gilbert Paterson était un coquin : il a droit d’entrer ici.

Elle tira les barres de la porte, et l’intendant du comte entra. Il était enveloppé d’un vaste manteau. Son chapeau tombait sur ses yeux.