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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/162

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— N’ayez pas peur, reprit Bob en souriant ; — M. Bishop n’est plus là… et d’ailleurs, il n’est pas méchant… Moi, voyez-vous, pour en revenir, je ne travaille dans cette partie-là que par occasion et quand je n’ai pas d’autre moyen de gagner mon pauvre pain… Ah ! Votre Honneur, que la vie est durement chère par le temps qui court !

Bob avait tout à fait quitté son air farouche pour redevenir le doucereux et patelin drôle que nous connaissons. Il y a temps pour tout. L’heure de la vengeance était passée ; il s’agissait d’affaires maintenant.

— Laissons là Brian de Lancester pour aujourd’hui, dit brusquement M. Paterson, — son tour viendra et, sur Dieu ! je promets de lui