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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/282

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Rio-Santo parut éprouver à cette nouvelle un fort grand découragement.

— Il ne me reste plus qu’à me retirer, madame, dit-il ; j’ai fait tout ce qu’un galant homme pouvait faire.

— Mais, marquis, s’écria lady Campbell, rien n’est désespéré… avec du temps…

— Attendre encore ! dit le marquis avec amertume ; — je ne le puis, madame… J’avais offert à miss Trevor mon amour et ma main… Un amour sérieux et une main sans tache, milady !… Je suis repoussé…

— Mon frère reconnaîtra son erreur… et si ce n’est pour moi, milord, un peu de patience pour Mary, qui vous aime !