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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/29

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men qui, l’œil appliqué à quatre trous pratiqués à l’écran et pareils à celui qui avait servi de lunette à Snail, regardaient avidement la loge de S. A. R. le duc d’York.

De l’autre côté du théâtre, on ne pouvait nullement se douter de ce manège. L’écran ne paraissait que bien peu, et seulement à l’endroit où se croisaient les rideaux de la loge. Néanmoins, cette loge hermétiquement fermée avait excité un instant les soupçons du commissaire chargé de la police du théâtre. Il donna mission à un agent de surveiller cette loge. L’agent, suivant l’immuable coutume de ses pareils, écouta, entendit et s’abstint.

C’était à peu près le moment où Brian de Lancester excitait l’attention de la salle entière.