Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/73

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tendre et le digne aubergiste fut bientôt en haut de l’escalier.

— Est-ce fait ? demanda-t-il tout bas.

— Taisez-vous ! répondit mistress Gruff par habitude ; — que fait le laird ?

— Pas de danger, ma bonne amie. Le laird est dans ses lubies de montagnard. Il cause tout seul de seconde vue et autres fadaises… Oh ! continua master Gruff en s’arrêtant devant les deux sœurs et avec une véritable commisération ; — les deux jolies petites créatures !

Mistress Gruff haussa les épaules.

— Quel dommage. ! reprit l’aubergiste, dont