Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/103

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Je témoignai de la joie à la pensée de revoir Roboam.

— Venez donc, me dit mon père en me prenant par la main.

Il me fit passer par la porte opposée de son boudoir, et, au lieu d’entrer dans la salle à manger, qui faisait suite, il ouvrit une petite porte latérale percée dans l’entre-deux. — Je ne soupçonnais nullement l’existence de cette porte. — Nous traversâmes un corridor très étroit, éclairé par une lampe, et, au bout d’une dizaine de pas, nous nous trouvâmes au pied d’un escalier raide comme une échelle, dont la cage se terminait par une lanterne.