Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/235

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Je n’écoutais plus guère, milord ; mon imagination travaillait et cherchait à mesurer, à définir le danger prochain, et plus je m’efforçais ainsi, plus mon cœur se serrait.

Ismaïl continuait sa railleuse galerie. Il me montra encore bien des lords, des grands seigneurs étrangers, des médecins célèbres, des hommes de loi en renom. — Je chancelais sur mes jambes affaiblies et je me sentais près de défaillir.

— Le voilà ! le voilà ! s’écria tout à coup mon père en me touchant l’épaule ; regardez, Suky.

Je regardai, milord, et je vous vis…