Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/239

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joignis les mains et je regardai mon père avec supplication.

— Ah !… dit ce dernier en fronçant le sourcil, nous jouions, je le vois, aux propos interrompus… Et de qui me parliez-vous, miss Suky, s’il vous plaît ?…

— Je vous parlais de Brian de Lancester, monsieur.

Mon père éclata en un rire sec et strident.

— Le frère du comte ! s’écria-t-il, — ce serait, sur ma foi, une bonne plaisanterie… une excellente plaisanterie, par Belzébuth !… Si Brian avait quelque chose… Ah ! ah ! ah !…