Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/145

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pour me percer le cœur d’un coup de langue… Je ne suis pas en sûreté ici.

Le comte était pâle et frissonnait.

— Oh ! j’en mourrai, je le sens ! poursuivit-il d’une voix étouffée ; — et il sera comte de White-Manor.

Ce dernier mot donne la mesure exacte de la haine qui devait emplir le cœur de White-Manor.

Brian était son héritier légal.

Le comte se dirigea vers la porte.

— Mais regardez-la, au moins, milord ! dit Paterson désespéré ; — voyez quelles mains,