Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/207

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Quand il eut fouillé les cartons, il fouilla le cabinet lui-même, espérant découvrir quelque cachette. Du premier coup il crut avoir trouvé son fait. C’était le matin même de ce jour où recommence notre histoire.

Le lecteur peut se souvenir qu’au moment où le cavalier Angelo Bembo, de retour de son expédition chevaleresque, ouvrait la porte pour se précipiter au secours de Rio-Santo, un des lambris de la chambre d’Angus Mac-Farlane, qui venait de s’agiter et de laisser apercevoir le visage curieux du docteur Moore, se referma tout-à-coup.

Ce panneau donnait dans le cabinet du marquis. En l’ouvrant, Moore croyait avoir découvert une armoire secrète. Ce qu’il vit le