Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/213

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

trompe, voici de l’autre côté du lane le free and easy de White-Manor… le lord’s-corner. Hé ! hé ! White-Manor était un fier séducteur dans son temps !… mais je jurerais que ce joli portrait n’a pas été fait pour Sa Seigneurie… et si son regard avait pu percer ce mur, hé ! hé !… c’est drôle, sur ma parole !… je pense qu’il n’eût point péché là-bas, vis-à-vis, si souvent et de si bon cœur.

— Il jeta un dernier regard sur le portrait, fit encore un geste d’étonnement et se dirigea vers le lit.

— Ceci est un secret, se dit-il, et un secret de l’espèce la plus énigmatique assurément… Mais je ne m’attendais guère… et après tout que m’importe ?… Oh ! oh ! ajouta-t-il, en