Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/22

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Ceci expliquerait parfaitement pourquoi la plupart des ressemblances sont tour-à-tour établies et contestées. Il n’en est point de si impossible à méconnaître, qui, proclamée, n’ait fait hausser les épaules et soulevé quelque protestation.

À coup sûr, si nous avions rassemblé dans la chambre où veillait M. le marquis de Rio-Santo toutes les jeunes femmes qui jouent un rôle dans notre histoire, et qu’un de nos lecteurs, admis dans ce huis-clos, eût pu les comparer l’une après l’autre au portrait récemment décrit, nous voudrions faire la gageure qu’aucune d’elles ne lui eût semblé avoir le moindre rapport avec la peinture…

Mais c’est que Susannah ne souriait guère