Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/234

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souvent en pleine santé les gens qui font abus de leurs facultés cérébrales, paralysie dont l’aspect effraie, et qui, souvent répétée, mène à l’idiotisme ou à la mort, mais dont les premières atteintes sont aisées à combattre à l’aide des notions de la clinique la plus élémentaire.

Le marquis avait été sous le coup d’une congestion cérébrale ; il y était encore.

Mais cette immobilité, cette mort de tout à l’heure, était un phénomène nerveux, compliqué sans doute d’accidents sanguins, dont la description précise et technique ne pourrait qu’effrayer ou ennuyer nos belles lectrices. — Tout écrivain se berce de la consolante idée qu’il est journellement dévoré par