Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/324

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bien-venue… Le premier visage que je verrai sera le joli visage d’Anna… Clary a autre chose à faire que de venir à ma rencontre… Pourquoi n’est-ce pas Anna que j’aime !

Ces derniers mots furent prononcés avec un gros soupir. — Le jour blanchissait derrière le givre des carreaux de la fenêtre.

Désespérant de trouver une veine de pensées qui le mît hors de sa tristesse, Stephen, mécontent de lui-même, revint s’asseoir au chevet de Perceval. Il attendait impatiemment le réveil de ce dernier pour lui demander l’explication de ces étranges paroles échappées à son sommeil.

Cette explication avait pour lui un intérêt