Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/96

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moment où le fiacre dépassait le seuil de la voûte, — vous direz à M. Pritchard que je suis bien son serviteur.

Les deux chevaux du fiacre prirent le galop dans Upper-Thames-Street.

Désormais Bob était à l’abri de toute mésaventure, — et Dieu seul pouvait venir en aide aux deux pauvres enfants dont il avait fait sa proie.

Le laird, cependant, reprenait peu à peu connaissance. Un instant la lumière se fit dans son esprit frappé. Il se souvint, un cri d’angoisse déchirante sortit en râlant de sa poitrine.