Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/10

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Stephen se trouvait là hors de portée de tout secours.

Le sang-froid était la seule arme qui pût vaincre en ce combat inopiné. À cet égard, Stephen était amplement pourvu.

— Je ne suis point un homme de police, répondit-il avec calme ; — il y a d’autres marchands que vous dans Londres, master Bishop, et vos manières ne sont pas faites-pour attirer les chalands.

Bishop lâcha prise à moitié. — Un homme de police eût tremblé sous ma griffe, grommela-t-il, mais je ne connais pas ce garçon, après tout… Vous n’êtes pas peu-