Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/101

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Maître Rowley se sentit venir l’eau à la bouche comme un gourmand qui parle de friandises. Bonnes choses, pour lui, signifiait naturellement drogues et poisons.

Il traversa le cabinet du docteur et ouvrit une porte qui tourna doucement sur ses gonds huilés. Cette porte était rembourrée par derrière et touchait presque une seconde clôture, également recouverte de laine, qui donnait entrée dans la prison de Clary.

Maître Rowley avait toujours à la main sa lanterne. Il en retira la bougie et la cellule se trouva subitement éclairée.

C’était une pièce fort petite, prise sur l’appartement particulier du docteur, et préparée