Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/129

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leur plaisir où vous trouvez le vôtre. Elles y viendront peut-être. Déjà, nous a-t-on rapporté, les dames qui fument commencent à manger des tranches de bœuf cru, tout comme Vos Seigneuries. Un peu de patience ! l’anglophilie est fort à la mode en haut lieu. Nous arriverons, vous verrez, à mettre un peu de notre gros poivre parmi les mœurs fades et poudrées à blanc de cette pauvre France, qui, en ce moment, ne nous va pas à la cheville.

C’est pourquoi, miladies, rule, Britannia ! l’Angleterre pour toujours ! que Dieu nous bénisse ! etc., etc.

Et, puissiez-vous fréquenter Old-Bailey pendant de longs jours encore !