Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/139

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wart et lady Campbell, qui ne la quittaient pas, étaient désespérées. Le docteur, suivant son habitude, ne répondit point à leurs questions, et sortit en ordonnant quelque insignifiant remède, dont il n’attendait lui-même aucun effet.

En rentrant dans sa maison de Wimpole-Street, il appela Rowley comme la veille, et, comme la veille, il lui demanda des nouvelles de Clary.

— Ma foi, répondit Rowley, il faut battre le fer pendant qu’il est chaud, et observer la nature vivante tant que dure la vie… La vie s’en va, monsieur ; si vous voulez battre le fer, il faut vous hâter, car il refroidit.