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kow avait pour maîtresse une fort belle Italienne, — fort belle, milord, je dois en convenir, — appelée la signora Palianti…
— C’est vrai, murmura le Russe.
— Je ne sais comment cela se fit… Il paraîtrait que Spraunskow, prisonnier, se repentit d’avoir mis trop de confiance en sa belle maîtresse, qu’il craignit des aveux, — pis que cela, peut-être, la remise de certain dépôt… des pièces importantes… des preuves…
— Mais, monsieur !… voulut interrompre l’ambassadeur.
— Permettez, milord, reprit paisiblement Rio-Santo ; — des preuves, disais-je. Mon