Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/296

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

porter, Saunder, — et pour mille livres de whisky, — et pour mille livres… que Satan te berce, mille misères  !

Ceci était souverainement concluant. L’Éléphant se pourléchait à l’idée de toutes ces mille livres liquides, et les faces basanées des porteuses à la mer, rendues plus séduisantes par quelques mois de solitude, souriaient en dansant une gigue autour de ses gros yeux alanguis.

— Eh bien !… eh bien !… grondait-il  ; — monsieur Paddy… nous boirons ensemble

— Sans doute, épais butor, sans doute, mon digne ami. Nous boirons ensemble… ou