Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/41

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pression, monsieur !… et des tressaillements… Ah ! ah ! c’est une besogne diablement réussie !

Rowley tira sa montre.

— Ta ta ta ta ! s’écria-t-il ; — elle a eu le temps de dormir treize minutes, cette fois, la petite espiègle ! Quel somme ! Pour sa peine je vais lui donner du porte-voix.

L’aide empoisonneur sortit à la hâte.

L’instant d’après, on entendit une voix tonnante mugir à l’étage supérieur. — Un faible cri de femme lui répondit.