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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/209

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lions à balayer les souillures matérielles qu’elle amasse autour d’elle ; il faudrait ou une prodigue bienfaisance tout à fait en dehors de nos mœurs mercantiles et dont les avantages, du reste, se balanceraient par de nombreux dangers ou un travail public libéralement organisé.

Mais avant tout cela et surtout, il faudrait quelque lumière jetée dans ces épaisses ténèbres. Il faudrait rendre à ce peuple abruti l’usage de son intelligence et de son âme. Il faudrait, en soutenant le corps, moraliser le cœur…

À Londres, où nous avons tant d’associations burlesques, tant de clubs inutiles, ne se fondera-t-il jamais une société dont le but soit