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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/250

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— Sur ma foi ! mon jeune monsieur, s’écria le maître du cabriolet, — voilà qui n’est pas agir comme il faut !… Vous voyez bien que je suis embarrassé par ma pauvre petite Mary, qui a perdu connaissance, je crois, la chère enfant, et que je ne puis courir après vous pour vous remercier… Vous lui avez peut-être sauvé la vie, après tout, et je voudrais…

— Monsieur, je vous tiens quitte de vos remerciements, répondit de loin Fergus.

— Oh ! oh ! en est-il ainsi ?… Eh bien, vous autres Anglais, vous êtes faits comme cela, je n’ai rien à dire de plus… seulement j’aurais voulu serrer la main de l’homme qui a sauvé Mary… voilà tout.