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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/265

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infuse, la science de la séduction. Elle aima comme elle était aimée, sans réserve.

Seulement elle devait aimer plus long-temps.

La maison de Mac-Farlane devint bientôt celle de Fergus. Fergus apprit tous les secrets du loyal Écossais et les motifs de sa présence à Londres. Parmi ses secrets, à lui, Fergus ne confia que son amour.

Plusieurs semaines se passèrent ainsi. Mac-Nab gardait toujours, vis-à-vis d’O’Breane, sa politesse cérémonieuse et froide ; mais Mac-Nab, après tout, n’était pas le maître de la maison.

À part Fergus, il n’y avait qu’un seul étranger qui fût admis à voir fréquemment miss