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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/27

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nées lui semblait seule offrir un degré suffisant de vraisemblance.

— Que Dieu me damne ! cria le capitaine O’Chrane en redressant ses six pieds de manière à dominer la foule ; — quelqu’un de vous, marchands de papier noirci, veut-il me donner un journal pour quatre pence ?

Nul ne lui répondit ; — mais, parmi les newsmen, les offres d’échange entre les journaux du matin et ceux du soir se poursuivaient toujours, et ces mots arrivaient aux oreilles de la foule, répétés à satiété :

— Une demi-couronne pour deux Standards !