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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/273

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de Glasgow et d’Édimbourg), Mac-Nab voulut se précautionner d’un appui et engager la lutte d’une manière plus égale. D’anciennes relations de famille lui ouvrirent la maison du vieux comte de White-Manor, lequel était un digne seigneur. Mac-Nab lui fit toucher au doigt la justice de sa cause, et le comte prit l’affaire sous sa haute protection.

C’était bien le moins qu’on acceptât en échange l’honneur d’être visité de temps à autre par le fils aîné de Sa Seigneurie.

Godfrey de Lancester se présentait ainsi sous les auspices de M. Mac-Nab. Angus ne le voyait point d’un bon œil, et Mary éprouvait pour lui une sorte d’instinctive aversion.