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lane et je connais le noble Angus tout aussi bien que vous… Voilà pour votre amour. — Quant à votre haine, il faut des monceaux d’or pour combattre l’Angleterre, et à Londres, où vous devrez vous cacher, c’est la misère qui vous attend !
— Dépêchez-vous, coquins stupides ! cria Paddy.
Fergus fit encore un mouvement pour s’élancer à la mer. Randal l’arrêta une seconde fois.
— N’allez-vous donc point vous sauver vous-même ? demanda Fergus.
— Non. Il me faut de l’or, à moi aussi…