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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/39

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« Ce matin, à onze heures trente-cinq minutes, un étranger de grande taille, monté sur un fort cheval…

— Ce journal ment ! interrompit mistress Crubb. C’était une femme.

— Il dit vrai, madame : — Un étranger… c’est le sauvage de Regent-Street…

— Ou l’Irlandais, le sale mendiant !…

— Ou le gentleman… On parle de cheval !

— La paix, de par l’enfer ! — Éternelle damnation ! — Satan et ses cornes ! — Tempête ! s’écria le capitaine. — Écoutez bien, Dorothy, mon cher cœur, — que le démon m’étrangle !