Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/71

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tre avec des pistolets, moi !… Ne comprenez-vous donc pas quelle aubaine ce serait pour moi d’être assassiné par Votre Seigneurie ?

— Non, monsieur, je ne comprends pas, répondit le comte d’un air sombre. Les morts ne raillent plus.

— Sur mon honneur, cela vaudrait mieux encore pourtant que de me pendre sous vos fenêtres… Non, non, milord, vos pistolets ne vous sauveront point de mes atteintes, et il vous faudra d’autres armes pour soutenir la lutte, si vous repoussez la paix que je viens vous offrir.

— Quoi ! s’écria le comte dans un premier