Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/88

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ner suivant la fantasque logique de son esprit. Tandis que le comte faisait effort pour comprendre ses dernières paroles, il changea brusquement de sujet.

— On m’a conté aujourd’hui, reprit-il, une histoire bizarre et touchante. Un instant, figurez-vous, milord, j’ai cru saisir de singuliers rapprochements entre ces aventures d’une pauvre fille abandonnée et certaines notions que je possède sur l’existence privée de Votre Seigneurie… À Dieu ne plaise ! ajouta-t-il, tout à coup avec émotion, qu’il en soit ainsi que je l’ai un moment soupçonné… Avez-vous ici un portrait de madame la comtesse de White-Manor, Godfrey ?