Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/92

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arriver à mon but, ma route habituelle, sans jamais descendre à ces pitoyables moyens qu’emploient entre eux les héros de tragédie. Je méprise presque autant la médisance, milord, que le poignard ou le poison. — En somme, je vous demandais un acte dûment rédigé, qui me permît de tirer à discrétion sur la caisse de Votre Seigneurie.

— Encore, monsieur !…

— Toujours, milord. J’ai absolument besoin de cela.

White-Manor se tenait à quatre pour ne pas rompre violemment cette entrevue ; mais la crainte que lui inspirait Brian contrebalançait