Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/162

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— Vous aurez du vin de France, Mac-Farlane, et je vais envoyer Duncan chercher notre frère Mac-Nab.

Fergus l’arrêta d’un geste.

— Angus, dit-il, vous savez que M. Mac-Nab ne m’aime pas.

— C’est vrai… Pourquoi cela ?

— Parce qu’il protégeait Godfrey de Lancester autrefois.

— White-Manor ! s’écria le fermier qui chancela et tomba sur le siège qu’il venait de quitter, comme s’il eût reçu un coup dans la poitrine ; — pourquoi me parle-t-on de White-Manor ?… Sortez, Amy ! Emmenez les en-