Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/184

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ma fuite ?… n’est-ce pas que je serai alors la plus heureuse des mères ?… »


Fergus ferma la lettre. Il y avait sur son noble visage une double expression de pitié tendre et de profonde indignation. Il leva les yeux sur Angus qui avait gardé la même posture, et qui, suivant d’instinct la lecture de ces lignes connues, avait deux grosses larmes sur la joue.

— Il faut la sauver, dit Fergus.

Mac-Farlane secoua la tête. Ses larmes se séchèrent et son front se rida.

— Il faut la venger ! répondit-il.

Puis il ajouta en laissant éclater sa voix :