Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/200

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— Je ne le haïssais plus, dit-il, le courroux que je lui gardais s’était perdu dans une colère trop profonde et trop vaste pour ne point absorber tout autre ressentiment… Mais, pour vous, Angus, pour la pauvre Mary, je vois bien que je suis vulnérable encore… Où dont est-il, cet homme ?

Angus prit la main d’O’Breane et la pressa entre les siennes.

— Merci, mon frère, répondit-il.

Puis il ajouta d’un ton de sarcasme amer et désespéré :

— Vous me demandez où il est ?… Vous avez donc oublié les mœurs de nos lords, de-