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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/257

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Angus tressaillit, — mais il répondit froidement :

— Je le ferai, mon frère.

— Ce n’est pas tout… Pour des raisons que vous connaîtrez plus tard, il m’importe que vous deveniez maître du château de Crewe…

— Je suis pauvre, interrompit le fermier.

— Je suis riche, dit O’Breane ; — il m’importe en outre que le maître de Crewe soit un homme considérable dans le pays, à l’abri de tout soupçon, par sa position même… un magistrat…

— Ceci ne dépend point de moi, mon frère.