Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/279

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bre du vieux Grahame qui est mort ; — Randal ôta son bonnet ; — c’est une chose faite et c’était une chose due… Mais du diable si j’avais besoin pour cela de la permission de Mac-Nab ou de personne ! je sais d’autres chemins pour entrer dans la maison de mon père que la porte ou la fenêtre, O’Breane… J’ai bonne mémoire… j’avais passé dix ans dans la montagne avant de paraître devant les assises de Glasgow, ce qui fait quinze années depuis que j’ai quitté la maison et ses alentours, mais j’ai retrouvé ma route comme si je l’avais faite hier.

— Tant mieux, dit Fergus. Vous retrouverez également ce souterrain.

— Également, c’est le mot, interrompit Randal ; — j’ai fait d’une pierre deux coups,