Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/323

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

aperçu les squelettes, imités et véritables qui ornaient ce réduit scientifique, qu’il recula brusquement de plusieurs pas et demeura coi dans un coin du palier.

Frank avait parcouru rapidement les six ou huit lignes que renfermait la première lettre, et son émotion n’avait point diminué.

— Et après, Jack, et après ? dit-il.

La porte s’était refermée d’elle-même, grâce à un système de poids fort répandu à Londres. Jack n’avait garde d’entendre et tremblait dans son coin. Nous pouvons affirmer, pourtant, que Jack, malgré sa tête chauve, eût vaillamment fait sa partie, le dirk à la main, contre un homme. — Mais il s’agissait de squelettes,