Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/325

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C’était un corps long, maigre, efflanqué, surmonté d’une tête hérissée.

Cela passa si près de Jack, qu’il crut sentir sur son visage le souffle d’une haleine ardente, — un souffle diabolique, manifestement, et qui ne pouvait appartenir qu’à un fantôme sorti de l’enfer.

Jack n’eut pas même la force de crier. — Le fantôme glissa et disparut par la porte de la chambre habitée naguère par les deux misses Mac-Farlane.

— Jack ! Jack ! criait pendant cela Frank avec impatience.

Jack, partagé entre le besoin de prononcer