Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/344

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

la soudaine apparition de Stephen et de Frank pour dissiper les dernières brumes qui flottaient autour de son intelligence ébranlée. Sa fièvre avait pris fin.

Mac-Nab demeurait interdit et stupéfait. Il croyait reconnaître son oncle, mais il voulait douter. — Perceval n’avait jamais vu Angus Mac-Farlane.

— J’avais confié mes deux filles à ma sœur, dit le laird, après un silence que Perceval avait été plusieurs fois sur le point de rompre pour manifester son étonnement ; — je viens chercher mes deux filles… Faites venir votre mère, Stephen.

Stephen fit signe à Frank de s’éloigner, mais