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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/368

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Si je m’arrêtais, ils s’arrêtaient, fixant sur moi leurs orbites où il n’y avait point d’yeux…

La sueur ruisselait sur le front du laird, qui haletait.

— Ce n’était pas la fièvre ! reprit-il d’une voix encore plus basse. — Oh ! non, j’ai vu tout cela, mon neveu… Je souffrais… mais le sang du cœur de Fergus rougissait l’eau tout autour de moi… c’était du sang partout… du sang rouge… une mer de sang.

Pitié ! pitié, Fergus !… pitié mon frère !…

Angus tomba sur ses genoux et tendit ses bras en avant.