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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/381

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deux filles vivent ; quelque chose au dedans de moi me le crie… J’en suis sûr.

Angus jeta ses bras autour du cou de Stephen.

— Merci ! balbutia-t-il les larmes aux yeux ; — merci, mon neveu… Mac-Nab aussi m’a souvent consolé autrefois quand le désespoir alourdissait mon front… Puissiez-vous dire vrai !… et, si vous dites vrai, que Dieu vous fasse heureux de toute la joie qui fut refusée au frère de votre mère !

— Du courage, Mac-Farlane ! du courage ! reprit Stephen empressé de profiter de ce bon mouvement d’émotion ; je sais autre chose