Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/65

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pondit Ned ; — le lieutenant est bien aimable, et vous êtes un jeune officier bien élevé… Je vous suivrai avec mes trois camarades et ma femme qui a envie de voir un bâtiment du roi.

— Diable ! murmura Sam ; — les quatre drôles, encore passe ; mais que ferons-nous de la dame ?

Le midshipman lui imposa vivement silence, et reprit son compte : le compte y était.

— Sam, dit-il, donnez la main à la dame… Messieurs, montez, je vous prie… Ce sera un voyage de plus, Sam, voilà tout, ajouta-t-il, en s’adressant au maître ; — nous garde-