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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/100

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— Messieurs, dit Rio-Santo, soit qu’il lui plût de répondre à l’interpellation muette de ses pairs, soit qu’il jugeât venu le moment de clore la séance, — je dois vous prévenir que, usant des pouvoirs à moi conférés par vous naguère, j’ai mis sur pied aujourd’hui le ban et l’arrière-ban de la Famille. — Il serait trop long de vous détailler les rôles divers que nos hommes auront à jouer cette nuit sur tous les points de Londres : j’ai pris à ce sujet l’avis des deux honorables membres de la police qui font partie de cette assemblée.

S. Boyne, esq., et le commissaire de la Cité s’inclinèrent en signe d’affirmation.

— Il faut, en cas de malheur, reprit le marquis, que l’attention des agents du gouverne-