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nerai le signal avec les vieux canons de la Tour de Londres, où je sais les moyens de m’introduire.
— Ah !… murmura le laird qui écoutait, immobile et les yeux baissés.
— Vous, mon frère Angus, répliqua Rio-Santo, vous me suivrez partout. Ce n’est pas en ce moment qu’il faut nous séparer.
— Je suis content ! dit le laird.
Rio-Santo regarda la pendule qui marquait huit heures et se leva.
— Il est temps de nous séparer, messieurs, reprit-il ; — au revoir, Ange, que Dieu vous protège, mon fils chéri. — Au revoir, ami