Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/163

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

mais il cherchait toujours sur ce noble front, que la brusque attaque d’Angus venait de découvrir, un autre témoignage physique, irrécusable : la cicatrice gravée si profondément dans ses souvenirs d’enfant.

Frank de même. — C’était M. le marquis de Rio-Santo qui était là devant lui ; c’était l’homme détesté, le rival heureux, le tyran impitoyable de la pauvre Mary, mais était-ce aussi le bourreau d’Harriet ?

M. le marquis de Rio-Santo, lui, ne faisait nul effort ostensible pour se dégager. Il regardait d’un air de surprise calme ces gens inconnus, ameutés autour de sa voiture, et semblait attendre une explication.