Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/172

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Ou bien se disait-il que Dieu le punissait de sa clémence, qu’il avait sauvé par deux fois la vie de ce frère qui le trahissait, et aussi épargné l’existence de ces deux hommes qui demandaient son sang ?…

Il n’eut pas long-temps du reste pour réfléchir.

— Monsieur, dit Stephen avec froideur, veuillez descendre, s’il vous plaît ; vous comprendrez que toute résistance serait désormais folie, et qu’il vaudra mieux pour vous nous épargner la triste nécessité d’employer la violence.

Les grooms et laquais du marquis étaient tous Anglais. Ils contemplaient la scène avec