Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/189

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calice. — Angus Mac-Farlane avait assisté au conseil secret tenu dans le salon d’Irish-House. Il savait, lui aussi, ce qu’était cette foule dont les clameurs arrivaient au marquis comme un présage de salut.

Froissé encore de sa chute, il se traîna sur Sa neige jusqu’à l’entrée de Chapel-Street et cria d’arrêter.

Rio-Santo pâlit à cette voix naguère aimée et qui était maintenant celle de son plus implacable ennemi.

Le laird parla. Stephen et Frank changèrent aussitôt la direction de leur marche, et comme le marquis refusait de faire un pas en sens