Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/211

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d’effort pour prendre une sonnette d’or qui se trouvait hors de sa portée.

— Voyez, Susannah, dit-elle gaîment, vous m’avez guérie… Joan, ajouta-t-elle en s’adressant à sa femme de chambre, qui se présentait à l’appel de la sonnette, apportez-moi ce qu’il faut pour écrire.

Joan mit sur le lit un élégant et léger pupitre de marocain. La comtesse trempa sa plume dans l’encre.

— Il faut lui faire une surprise chère belle, dit-elle tout bas. Je ne veux point lui dire que vous êtes ici, et demain, quand il se présentera…