Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/337

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ne point pleurer, — je suis un gentleman et ne voudrais pas me comporter comme un enfant… mais je pense qu’il est permis de regretter sa sœur… Ma pauvre Loo ! ma pauvre Loo !… Je ne pleure pas, Madge !

Snail se tourna brusquement vers la muraille, parce qu’une larme mouillait sa paupière et qu’il avait honte.

Le silence qui régnait dans le public-house n’avait pas encore pris fin, lorsqu’on entendit au dehors un long et bruyant bourdonnement.

Tous les membres de la Famille se levèrent d’un mouvement commun et se dirigèrent vers la porte.